samedi 8 septembre 2007

Majda Al Roumi


Biographie de Majda Al Roumi
Années actives Le début des années 70 - présent Site Web Emplacement du ventilateur de Majida EL Roumi (l'arabe de Majida : le ماجدةالرومي, également transcrit en caractères différents comme Al Roumi de Majida) a été soutenu dans Kfarshima, Liban le 13 décembre, 1956. Elle est un chanteur libanais qui a commencé au début des années 70 sa carrière musicale quand elle a participé à l'exposition de talent, ventilateur d'EL de studio sur Télé Liban et a gagné la médaille d'or pour le meilleur chanteur féminin. Depuis son aspect à la télévision à l'âge d'offre de 16, elle a devenu des chanteurs les plus réussis et les plus respectés du monde arabe aussi bien qu'un ambassadeur de bonne volonté de l'ONU.biographieL'EL Roumi de Majida a été soutenu à l'EL renommé Roumi de Halim de musicienet épouse Marie Loutfi qui étaient des couples de catholique grec de Melkite de pneu, une ville au Liban du sud. L'EL Roumi de Halim est allé bien à un musicien renommé et a continué à habiter dans Kfarshima, qui était à la maison à beaucoup de chanteurs, musiciens, poèts et auteurs libanais, comme le défunt Philemon Wehbi. La résidence de l'EL Roumi de Halim dans Kfarshima était un endroit de réunion pour beaucoup de figures culturelles. La croissance vers le haut dans un environnement si artistique, l'intérêt de Majida pour la musique a commencé à montrer à un âge jeune où elle avait l'habitude d'écouter les travaux des figures en avant de ce temps, telles que Fairuz, Umm Kulthoum, Abdel Wahab, Wadi AlSafi, et Asmahan. Son chant et belle voix ont attiré l'attention de sa famille et voisins. Une des chansons tôt qu'elle avait l'habitude de chanter (et qui a été sauvé réellement sur le disque) était une chanson religieuse appelée « votre naissance » ou Miladak dans la référence à la naissance de Jésus le Christ.Raymond Safadi, le cousin de Majida, a été fasciné avec sa voix et pensé qu'elle pourrait être très réussie si elle poursuivait le chant comme profession. Cependant, le grand obstacle était son père qui a su autrement plus que n'importe qui comme il difficile était de travailler dans l'industrie de musique. Bien que le père ait refusé la participation de sa fille au ventilateur d'EL de studio de Télé Liban, Majida, avec l'aide de son cousin, Raymond, a écrit l'exposition de talent, chantant les chansons pour Asmahan et le Leila Mourad, comme Ya Toyour, Ana Albi Dalili, et EL Ouns fi Vienne de Layali. Le jury a été impressionné de son exécution et de sa belle voix et lui a attribué la médaille d'or.L'EL Roumi de Halim a donné à Majida ses bénédictions pour poursuivre le chant comme profession tant que elle a continué son éducation plus élevée. En dépit de la guerre au Liban en 1975, Majida a obtenu son BA en littérature arabe de l'université libanaise.Le 17 septembre 1977, Majida s'est fiancé à un homme d'affaires de Byblos, Liban. Antoine Dfouni est devenu non seulement son mari mais également son directeur. Ils ont été bénis avec deux filles : Hala et Nour. Majida et Antoine ont divorcé en 2006.Majida a perdu sa soeur, Maha, au cancer. Avant sa mort, elle a volé à sa soeur qui a été hospitalisée aux Etats-Unis et est restée avec elle pendant des jours. Quand elle a dû revenir pour un concert au Caire, Majida a consacré une chanson à Maha, souhaitant qu'un miracle ait lieu pour la guérir. Quand Maha est mort, Majida a exposé une poésie qu'elle a écrite à son enterrement dans une église dans Kfarshima. La mort de sa soeur la mènent à produire plusieurs albums religieux et ont tenu plusieurs concerts religieux. Elle libérerait plus tard une chanson spéciale consacrée à Maha.[éditer] carrièreMajida premier simple, « rêve d'I de toi, O Liban » (3am I7lamak Ya 7ilm Ya Libnan) était une chanson au sujet de son pays déchiré par la guerre. La chanson a été écrite par ledit Akelet composé par Elias Al Rahbani. En 1976, Majida a tenu le premier rôle en Al dal (le retour d'ibn d'Al d'Awdat de film de Youssef Chahine du fils prodigue) fournissant également 3 bandes sonores pour le film. Chahine l'a présentée comme « voix du 20ème siècle » et a reçu « la récompense égyptienne de critiques ». L'EL Roumi de Majida a libéré son premier album individu-intitulé de début en 1977 contenant 8 voies. L'album était un succès énorme et il a lancé Majida dans le stardom. Majida a continué à produire les albums très réussis que l'EL Roumi de Majida a exécutés à de divers festivals dans tout le monde arabe tel que des festivals de Beiteddine, de Jerash, de Bosra et de Carthage aussi bien que le théatre de l'$opéra du Caire. Majida était le premier chanteur de la « nouvelle génération » pour présent une poésie écrite par le poèt syrien renommé Nizar Qabbani. Majida était un ami personnel de défunt poèt syrien Nizar Qabbani. Majida a collaboré avec Nizar au début des années 90, elle a présenté ses poésies « Beyrouth, Madame d'univers » (Beyrouth reposent l'EL Dunia), de « mots » (Kalimat), « avec le journal » (Al Jarida de Ma) et « le jasmin Neckband » (Al Yasamin de Tawq). Qabbani a été très étonné avec le succès énorme du coup « Kalimat » de Majida, d'autant plus qu'il a eu certaines réservations sur cette poésie. Majida prend un stand ferme s'opposant au métier israélien des territoires palestiniens et des violations israéliennes de droits de l'homme. Pendant son concert à Beyrouth le 15 avril 2002, Majida a indiqué, « ce qui entre maintenant en Palestine est un crime contre l'humanité, et je suis ici pour dire une finale « non ! » au métier israélien. Aux Palestiniens, je dis, nos coeurs sont avec toi ; nos âmes sont avec toi ; la justice est avec toi, et la terre sera toujours à vous. Le « EL Roumi de Majida a également libéré la chanson, « Qana », Al d'Anakid Ghadab l'avril 1996, comme forme de protestation contre le massacre qui les Israéliens commis dans la ville de Qana au Liban méridional. La « lumière exécutée par Majida la manière, » un duet avec l'opéra international tiennent le premier rôle, José Carreras, le 9 décembre 2006 pendant la cérémonie d'ouverture des 15èmes jeux asiatiques Doha 2006. [1] En plus de trois décennies, l'EL Roumi de Majida est allé bien à un symbole et à un idole pour les assistances globales.

Le chanteur Moumouh


Apres un franc succès réalisé implacablement et d'une manière très séduisante par son album " Melkhana " qui a véritablement fait un tabac, l'été écoulé, le jeune chanteur Moumouh compte apparemment rééditer mais, avec, bien évidemment, une nette amélioration, le même exploit.
Ce jeunot épatant vient ainsi de mettre un nouvel album sur le marché pour justement se mettre, d'ores et déjà, au diapason des artistes ayant fait de la chanson rythmée une passion. Comme déjà annoncé précédemment, cet artiste qui monte a bel et bien tenu sa promesse, celle de donner à son public un produit très raffiné en mesure même de rivaliser les chanteurs de même style mieux lotis sur tous les plans.
Il s'agit d'une expérience très remarquable qu'a mis à profit cet Ifliss pour aller toujours de l'avant dans son chemin qui l'amènera, à coup sûr, vers un avenir prometteur. Ses prestations ça et là en Kabylie notamment ont confirmé amplement que ses musiques envoûtantes parviennent à épater plus d'un, étant donné que ses mélodies sont d'une teneur musicales très convoitée essentiellement par la nouvelle génération.
De ce fait, dans son nouvel opus, Moumouh n'a point dérogé à la règle, puisqu'il est toujours fidèle à sa ligne en vue, sans aucun doute, d'agrémenter son public d'un produit fascinant. Il est vrai que le nouvel album de Moumouh, sorti il y a de cela une semaine aux éditions Irath musique, a suscité un engouement en Kabylie, et ce, en attendant les fêtes de la trêve estivale où les chansons de cet artiste résonneront certainement, comme l'année dernière d'ailleurs, à l'occasion des soirées DJ, devenues ces dernières années un mode privilégié pour l'animation des cérémonies de mariage et des circoncisions en Kabylie. En effet, dans cet album intitulé "thamechtouhth di laamar", ce jeune artiste traite particulièrement des sujets ayant trait à l'amour, volet très prisé par la classe juvénile. En outre, ce nouveau produit est composé de huit chansons raffinées avec une distribution musicale très attrayante.
En effet, Moumouh chante "A cheikh", "Senyagh fellam", "Ayghar ayghar", "thakhemrith" et "zigh theskidived" ainsi que "thamechtouhth". D’éminents techniciens en la matière, à l'image de Toufik pour la prise de son et les arrangements.
Ont contribué à l'enregistrement de ce travail D'ailleurs, Moumouh se voit très reconnaissant du travail effectué par Toufik, cet homme génial qui a fait parler de lui grâce à sa finesse et son attachement viscéral à la chose artistique. "Vraiment, je remercie infiniment Toufik Ameur qui m'a fait un travail d'expert", dira Moumouh qui ajoutera que, pour la promotion de sa cassette, il ne compte pas rester les bras croisés. Au contraire, un travail de longue haleine l'attend. C'est pour cela qu'il envisage d'animer une série de galas. Pour rappel, l'année écoulée, l'artiste a sillonné pratiquement toute la Kabylie où il a donné des spectacles comme, entre autres ceux animés dans les cités universitaires de Bejaia.
Aujourd'hui donc, et ce compte tenu de sa notoriété au niveau local surtout, l'auteur de la célèbre chanson "melkhana" sera à coup sûr, au rendez-vous pour mettre du baume dans les cœurs de ses fans qui l'attendent avec beaucoup d'impatience. Enfin, comme, d'ailleurs, à chaque passage dans une émission radiophonique, Moumouh a, dernièrement sur les ondes de la chaîne "El bahdja" salué son public qu’il remercie de tout cœur.

Cheba Maria


En 1998, cheba maria rejoint la France et s’installe à Toulouse en quête de nouvelles rencontres et d’expériences musicales.
Rapidement elle arrive à convaincre un public plus large et se fait une place dans le milieu artistique grâce à sa voix exceptionnelle et son irrésistible joie de vivre.Elle se produit aux cotés de plusieurs artistes :
En 1998 son duo avec Cheb Rachid « Enta ould bladi » (toi de mon Pays) se vendra à plusieurs milliers d’exemplaires dans differents pays et notamment au Maroc ou elle garde un public fidèl.
En 1999, « Amalek a Zine » ( qu’est ce que tu as ).
En 2000 « Zinek Khater » (Ta beauté est irrésistible) En 2001 « Rani Mghamra » (je part a l’aventure).
En2003 « jenetinie » (tu m’as rendu folle) ,et son incroyable participation dans l’album Rain’b Fever le titre Mon Bled en duo avec Mohamed lamine et Rohff vendu a plus de 250.000 exemplaires lui donnera l’occasion de recevoir des mains de la maison de disque Sony Music son premier Disque d’or.
Elle a pu créer un style à part le style CHEBA MARIA influencée par le rai,la musique populaire marocaine et moyen-orientale plus généralement.

Cheb Rhany Kabbadj


Rhany Kabbadj(ou Ghani Kabaj) est Né, en 1972, à Marrakech de père marocain et de mère franco-algérienne.Très jeune, il quitte le Maroc pour s’installer en Tunisie où il ne tarde pas a confirmer son talent d’artiste. Au Maroc Rhany est déjà une star, et ses fréquentes apparitions à la télévision tunisienne et marocaine, son concert à la coupole d’El Menzeh lui ont permis de côtoyer les plus grandes personnalités de la chanson arabe : Warda, Mami, Khaled (un duo qui lui valut du succès.)...
Début 97 Rhany s’envole pour Paris et enregistre son album qu’il terminera à Los Angeles. Entouré de musiciens talentueux, le disque verra le jour en 98. Après la sortie d’un best of en 99 au Maroc, de nombreux concerts ont lieu sur les plus grandes scènes parisiennes dont Bercy. L’année 2000 arrive et sera consacrée a la création de son nouvel album.
Passionné par la musique latine, Rhany est parvenu après des années de travail et de recherche a unir culture ensoleillée et rythmes endiablés. L'enregistrement aura lieu à Cuba au studio Egrem répute pour ses productions et artistes légendaires (Compay Segundo, Ibrahim Ferrer, Buenaventura...). Son tempérament joyeux et chaleureux est à l'image de sa musique, un mélange de salsa et de rythmes orientaux.

Abidat Rma


C'est un art musical populaire de la région sous forme d'un groupe composé de sept personne et plus ,avec un chef de groupe nommé Mkadem c'est le leader vétu d'une Adjellaba qui le distingue des autres.le Mkadem a comme instrument un ciseau ou mkass (Mkass un ancien ciseau était pour but couper la laine des mouttons) ,ou tara (instrument musical rond ) .
Comme son nom l’indique, Abidat R’ma, cet art est inspiré du rituel de la chasse. Ce rituel, qui coïncide avec le début de la saison de la chasse, est fêté par des chants autant que par la danse. Au moment où le gibier est aux abois, des cris (hourras) s’élèvent pour pousser la proie, apeurée, à cesser toute résistance. Dans ce concert de cris, les chasseurs se livrent à une gestuelle comme pour pousser le gibier dans ses derniers retranchements.
Inspiré de la chasse, l’art des Abidat R’ma célèbre également la saison des moissons. S’il est né de la période de chasse, il est utilisé souvent au moment des récoltes. A cette période, les Abidat R’ma expriment la joie des paysans de récolter le fruit de leur travail, surtout quand les récoltes sont bonnes.
Aujourd’hui, cet art est toujours fort prisé par les Marocains. Les Abidat R’ma sont fort sollicités pour les fêtes familiales (mariages , circoncision, etc). Ils le sont pour les soirées télévisées. Le secret de cette forte demande trouve son explication non seulement dans les chants ou musiques des Abidat R’ma , mais aussi dans la théâtralisation de leur art. Au plaisir de l’écoute, se conjugue ainsi le plaisir de l’œil. Au gré des mélomanes et des amateurs des spectacles vivants.

LemChaheb


LemChaheb (aussi appelé Lamchaheb) est une formation musicale marocaine très populaire créée en 1975 à Casablanca, connue pour son goût prononcé pour les musiques occidentales, et le sens de la provocation .LemChaheb a pour particularité d'introduire des instruments électriques modernes et de composer des textes dénonçant les excès du régime politique marocain. De fait, ils ont à maintes fois été comparé au Sex Pistols.Riche d'influences musicales diamétralement opposées comme le raï, la musique berbère, la musique gnawi et mis au diapason du rock et de la musique pop, LemChaheb est reconnu pour avoir participé au renouveau de la musique marocaine des années 1970 jusqu'aux années 1980, date à laquelle le groupe disparaît de la scène.

Gamehdi


Alors qu’il était en mode préparation de la pochette de son nouvel album, GAMEHDI a fait quelques révélations sur ce qu’il appelle « son projet album solo ». C'est désormais confirmé: Mehdi alias G.A.M est entrain de faire les derniers préparatifs pour la sorti de « Inti7ar Mousi9i » qui est prévue pour le 28 Novembre 2006.
Ceci dit, l'exercice du disque en solitaire n'a pas l'air quelque chose de difficile pour le fils prodige de la Piranha labo, surtout si l'on se remémore bien les 2 maxi qui son déjà dans les bacs depuis un bon moment.
GAMEHDI garde la même équipe de producteurs Betflame et C4. « Je fais en sorte que ça reste ‘en famille’ » affirme le rappeur. Sans oublié aussi l’aide précieuse de Nores qui a assuré la production de quelques titres ainsi que l’enregistrement et le mixage de l’album. du piment casablancais mariné dans de la bonne sauce made in salé voila a quoi va ressembler l’album.
Au menu 17 morceaux Totalement inédits, des invitées de marque comme les phénomènes C4, K-Prime et Netro la ravissante Fatiwiz, l’incontournable Sage-T, le vétéran Nores, et la douce Souha la nouvelle révélation du R’n’B marocain.

Hikmate


En choisissant l'égypte comme point de départ, Hikmate compte faire une rentrée sérieuse dans la scène artistique arabe après avoir fait profil bas pendant des années au Maroc. Hikmate choisit la méthode humble et anonyme, tout en grignotant les pas des escaliers de la gloire les unes après les autres. Et c'est pas la vocation qui lui manque ... sa voix est sensuelle
Hikmate a commencé par sortir un premier single en 2006 qui s'appelle "Hawil", composé par le libanais Marwan Khouri. Cet énorme succès qui a réussit à propager son nom sur le plan arabe.

Cheb Bakr




Cheb Bakr est un chanteur marocain

Abdelhadi Belkhayat


Né en 1940 à Fès, Zougari El Idrissi Abdelhadi, dit Belkhayat, a quitté trés tôt sa ville natale pour s'installer à Casablanca. Une audition à la radio, rue l'Brihi, le pousse rapidement sur le devant de la scène. Dominée à l'époque par Mohamed Fouiteh, Maâti Benkacen, Brahim Alami. Il réussit à imposer son style avec sa voix chaleureuse et ses mélodies d'influences orientales. Il représente la nouvelle génération avec Abdelwahab Doukkali, Latifa Amal, Mohamed Hayani. Une génération fascinée par l'Egypte et ses Oum Kalthoum, Farid El Atrach et autres Abdelhalim Hafez. Ce pays avait recu a bras ouverts Sabah la libanaise, Warda El Jazaereya et bien d'autres. Ce qui décide Belkhayat à partir effectivement à la conquête du pays des pharaons et espère trouver une place au soleil. Il s'inscrit au conservatoire supérieur de musique arabe du Caire et trouve tant bien que mal sa place dans cette jungle dominée par certains auteurs et compositeurs. Mais c'est la grande déception qui l'attend. Le dilemme étant de chanter en misriya ou rentrer bredouille. Il choisit la deuxième option. Les trois années (entre 1965 et 1967) passées là-bas lui ont permis malgré tout de se faire connaître du public égyptien. Beaucoup d'égyptiens se rappellent encore de son passage et regrettent qu'il ne soit pas resté. Belkhayat, lui n'a pas regretté, puisqu'il a accumulé succés et gloire tout en préservant son style original. Il est non seulement la coqueluche de toute une génération de marocains mais devient vite une star en Algérie, puis plutard en Tunisie et en Libye. En 1973, son Olympia à Paris rassemblera plus de gens sur le trottoir que dans la salle par manque de places. A cette même époque, il tente une carrière cinématographique avec deux rôles proposés par le réalisateur marocain Abdellah Mesbahi :"Silence sens interdit" (1973) et "où cachez-vous le soleil?" (1979) où il partage la vedette avec Abdelwahab Doukkali. Ces films, tournés entièrement au Caire, sont restés inédits au Maroc. Pendant ce temps, il multiplie les collaborations avec des auteurs comme Ahmed Tayeb Elalj et Abderrafiî Jaouahiri et son compositeur favori Abdeslam Amer qui ont su populariser son côté classique tout en lui apportant une touche chic et romantique. El Qamar el ahmar, Fi Qalbi jarh q'dim, Aouni nensak sont de grands classiques et font désormais partie du patrimoine collectif marocain. La voix forte de Belkhayat présente l'avantage de s'adapter à différents genres musicaux. Il peut passer sans complexes de la plus difficile qassida de Mohammed Abdelwahab au plus populaire des airs de Hocine Slaoui. Le succès continuera jusqu'à la fin des années 80 où il entame une période mystique et se consacre exclusivement aux psalmodies coraniques. Il se retire dans une mosquée casablancaise et fait l'imam pendant quelques années. Ses fans, pendant ce temps, continueront à répéter le refrain de son qitar El hayat, son dernier véritable succés, tout en le considérant comme le dernier mythe marocain vivant, au même rang que Nass El Giwane ou Jil Jilala.En cette année 2000, Abdelhadi Belkhayat décide de ne pas s'arrêter là et reprend la chanson pour satisfaire un public toujours demandeur. Il promet un album pour l'année prochaine mais aussi une grande tournée à travers les villes du royaume.

nassa el ghiwan


Au début de l'année 1970 cinq artistes du même quartier(Hay elmohamadi) à Casablanca la plus grand ville au Maroc,vont creés un groupe musical qui l'appelant Nass el ghiwane,qui va déclencher une des plus belles révolutions musicales au Maroc . Ils s'appellent: Omar Sayed, Larbi Batma, Boujmaa, Alal Yaala, Abderhmane Paco
Histoire
Nasse El ghiwane ne peuvent être confinés aux personnes qui formaient ce groupe mythique. La pratique des ghiwane est une coutume ancestrale qui conférait à des gens connus pour leur probité et leur modestie la faculté de décrire par le chant et la parole la vie quotidienne, les problèmes et entraves de leurs semblables. Ces troubadours, de douars en douars, transmettaient leur savoir par l'entremise de la poésie, du chant et du jeu théâtral.
Considérée comme révolutionnaire ou comme phénomène de société, la formation mythique que Martin Scorsese, le réalisateur americain, a décrite comme les Rolling Stones de l'Afrique continue à produire après presque 30 ans d'existence. Le groupe continue à émouvoir aussi bien les nostalgiques qu'une tranche appréciable des jeunes. Dignité , humilité, talent à l'état brut. Histoire d'un mythe.
Au début des années 60, un quartier de Casablanca, Hay Mohammadi, haut lieu de la résistance marocaine , enfantera les cinq garcons qui vont révolutionner le champ artistique marocain. Omar Sayed et Boujemâa -dit Boujemiî- habitaient Derb Moulay Cherif, Larbi Batma était issu du kariane Jdid, et cette proximité culturelle et affective a été le ciment de ce groupe. Ils ont débuté leur carrière dans la maison de jeunes du Hay non loin du café Essaâda que Larbi Batma évoque comme le fief de la formation dans son autobiographie "arrahil". Ils rejoigent ensuite la troupe de Tayeb Saddiki et introduisent dans son répertoire dramatique des chansons telle la mythique "qittati Essaghira".
L'idée de créer un groupe a germé dans l'esprit de Larbi Batma et de Boujemiî lors d'une tournée théâtrale en France dans une volonté de perpétuer ce que leurs ancêtres ont transmis de génération en génération. Le premier Show eut lieu à Casablanca dans le restaurant le Nautilus à Ain Diab. Mais la consécration aura lieu au théâtre Mohammed V à Rabat en 1971. Les spectateurs étaient ravis, car emportés par le rythme et enthousiasmés par des textes qui les touchaient directement. Tout le monde sentait cette opposition symbolique entre deux genres de chansons : l'une conventionnelle et statique, l'autre militante et prometteuse. Les nouvelles chansons de Nass El Ghiwane avaient pour titres : "Çiniya", "Ya bani l insân", "Ahl el hal".. Par son approche insolite, le groupe Nass El Ghiwane s'inscrivait d'emblée dans un mouvement de réaction contre la "chanson âsriya" qui languissait dans d'interminables plaintes d'amour et ennuyait par son caractère relativement figé ; et s'attache à créer un ton véhément en parfaite osmose avec les nouveaux textes.

Elissa Khoury


Elissa Khoury, connue sous le nom d'Elissa (إليسا) est une chanteuse libanaise. Elle est née le 27 octobre 1972, et a sorti son premier disque en 1998, Baddi Doub.Elissa a débuté sa carrière dans la chanson au début des années 1990, au Studio Fann. Après une longue absence elle revient dans le monde de la musique avec son disque Baddi Doub de style arabo-espagnol. Son premier album s'est vendu à plus de 150 000 copies au Liban et au Moyen-Orient. L'artiste de flamenco Gerard Ferrer a participé à cet album.Son second projet date de 2000, un duo avec Ragheb Alameh pour la chanson Betghib Betrouh. Sa popularité a beaucoup augmenté avec cette chanson. La chanson est incluse dans son second album W'akherta Ma'ak qui s'est vendu a plus de 200 000 exemplaires.Son quatrième album Ahla Donya est sorti en 2004, c'est l'un des albums les plus vendus au Moyen-Orient avec plus 3 400 000 exemplaires. C'est le premier album qu'elle a sorti après sa signature de contrat avec la chaîne musicale panarabe Rotana. L'album a été élu meilleur album du Monde arabe par le World Music Awards en août 2005.Aujourd'hui Elissa est l'une des égéries de la marque Pepsi avec qui elle a tourné trois pubs. Son cinquième album, Bastanak s'est vendu à 3 700 000 exemplaires. Elle est la rivale d'autres chanteuses arabes comme Nancy Ajram, Nawal Al Zoghbi et Haifa Wehbe. En 2006, Elissa a participé à plusieurs publicités pour Pepsi avec la chanteuse américaine Christina Aguilera.En 2006, Elissa enregistre un duo avec le chanteur de raï algérien Cheb Mami. Leur duo devient connu vers fin 2006 début 2007.

Bigg


L'année 2006 a été prolifique pour Bigg ! Connu aussi sous le nom d'Al Khasser, Bigg vient de sortir dernièrement un album solo très réussi : Mgharba Tal Mout. Des textes intelligents en darija qui traitent des sujets 100 % Marocains. Tout y passe : le chômage, la prostitution, la corruption, le 16 Mai, la censure… Bref, Bigg dit tout haut ce qu'énormément de personnes pensent tout bas. Bigg a pu également réunir autour de lui Fnaïre, Masta, Muslim, 9mm ou encore DJ Key. Que du beau monde ! Rendez-vous donc au Boulevard pour écouter les titres de ce qui est sans aucun doute un des meilleurs albums Marocains de 2006.
BIGG de son vrai nom HAZEB TAOUFIK, âgé de 22 ans, titulaire d’un Deug en droit français et préparant sa licence, s’est intégré dans le domaine du HIP HOP cela fait maintenant 8 ans. On l’a déjà vu avec de nombreux groupes et DJ’s depuis sa première scène jusqu’à maintenant. Passant par « Thug Gang » et « Cash Money » jusqu’à « X-Side », « Da Sniperz » ou dernièrement avec MAFIA-C, il a su s’imposer en tant que vétéran du rap marocain et surtout considéré comme une grosse gueule.BIGG ou encore AL KHASER, un surnom qu’il a eu de par ses textes provocateurs certes, mais sujets de réflexion : « le premier but est de redonner à la vraie DARIJA sa vraie place et la mettre en valeur dans un MAROC qui a tendance à oublier que c’est l’une, sinon la seule qui nous reste de notre patrimoine ».En parallèle avec sa carrière de rappeur - compositeur, Bigg a aussi su s’imposer dans le domaine de l’animation en tant que MC à coté de DJ Key aux platines et notamment dans des concerts tel qu’avec DJ ABDEL ou NOURI ou le boulevard des jeunes musiciens. Ajoutant à cela de nombreuses collaborations avec des labels français tel UNIS`SON avec lesquels il a signé pour un album concept, réunissant les artistes marocains et français et notamment des stars tel (RHOFF, PSY DE LA RHYME (en featuring avec BIGG, WALLEN ...) Notons bien que l’album est dors et déjà sorti en France, et qu’ Bigg a été réalisé par le fameux IMMOTEP du groupe IAM.Entre scène et collaborations sur des projets étrangers, BIGG ne pouvait se permettre de sortir un album solo, cependant toute chose a un début, puisque ces derniers mois passés en studio lui ont permis de réaliser un album solo fin prêt de 24 titres, album avec des featuring franco-marocains. MGHARBA TAL MOUTE est le premier album Casaoui, et qui a vraiment touché toutes les catégories sociales, abordant ainsi tous les sujets que peut contenir un bon album à l’ancienne : En partant des problèmes que peuvent vivre les jeunes marocains détenus (9-habs feat. Sharman ), pour arriver à des titres comme (21-ma bine lil ou nhar feat. Caprice) qui donnent lieu à la réflexion sur notre véritable destin, si l’on est vraiment maître ou pas. Et comme pour tout artiste, bigg se présente à son public à travers des morceaux tel que (5-akel) où il raconte sa vie de rappeur, depuis le premier moment où il a touché un Mic, partageant ainsi toutes ses émotions avec ses fans . Tout en s’inspirant de la bonne vieille soul music, BIGG a su "marocaniser" ses instrus. Toujours dans le cadre de l’album, on peut noter la collaboration de tous les pères fondateurs du rap marocain : (Masta, Muslim, Caprice, K Libre, Fnaire...) mais aussi l’une des plus douces voix R’n’B du Royaume (loubna), ajoutant à cela la collaboration de stars du rap français...

Amr Diab




Basset Abdel Aziz Diab (l'arabe d'Amr Abdel : le عمروعبدالباسطعبدالعزيزدياب) est un musicien égyptien, né le 11 octobre, 1961 dans le port dit, Egypte. Connu comme Amr Diab (عمرودياب), il est l'un des chanteurs les plus populaires et les plus réussis en Egypte et le Moyen-Orient, qui pouvait également recueillir la renommée du monde.
English biography
Amr Diab (Amr Abd-Albaset Abd-Alaziz Diab), a new born star for his phenomenal singing talent had his first glow to life on the 11th of October 1961 in Port Said, Egypt. His father was the chairman of Marine Construction & Shipbuilding. He played a great role to igniting the early sparks of musical inspiration towards Diab's early stages in his professional music career. Amr at the age of six sang at the July 23rd Festival in Port Said, he was surprisingly rewarded with a guitar from the governor for his excellence.
Amr Diab had earned his bachelor degree in Arabic Music and graduated at the Cairo Academy of Arts in 1986.
Professionally, Amr Diab entered the musical arena and introduced his first album "Ya Taree'" (1983), integrated with the audience and gained lots of attention and success. Amr followed on producing several great albums: "Ghanny Men Albak" (1984), "Hala Hala" (1986), "Khalseen" (1987), "Mayyal" (1988), "Shawa'na" (1989) and "Matkhafesh" (1990).
Amr was chosen to perform and represent Egypt at the 5th Tournament of African Sports in 1990 where he sang in English, French and predominantly Arabic. Decisively and during the same year the star decided to invade the cinema with a role in the film "El Afareet" with Madiha Kamel. Then came his other hit albums "Habibi" (1991), "Ayyamna" (1992) and "Ya Omrena" (1993). In 1992 and 1994, Amr played two more roles in the cinema in "Ice Cream Fe Glim" and "Dehk Wele'b Wegad Wehob"--which additionally was chosen as the opening film in the Egyptian Film Festival.
Amr Diab's musical career stemmed and kept growing, aiming for musical excellence. He followed on and released the album "Weylomony" (1994). Amr Diab officially established himself as the super star of the Arab world, demarcating the launch of "Rag'een" (1995) and the popular "Nour El Ein" album (1996) which was not only a success in the Middle East but in the whole world, and "Awedony" (1998).
Amr Diab thereafter made a break through with one of his best smashing hits "Amarain" album (1999), Diab engaged with two singers during this album and produced amazing duets, one with the Algerian­French based Cheb Khaled song "Alby" and the second with the Greek Angela Dimitriou song "Bahebbak Aktar".
The years 2000, 2001 & 2003 witnessed the compilation of all Amr Diab's past experience put together and release of Amr Diab's most magnificent albums ever "Tamally Ma'ak" , "Aktar Wahed" and "Allem Alby", as he engraved his quality of voice singing incorporated with astonishing sense of composer and musical arrangements. Amr always favored innovation of new music, form and style. He merged the Arabian oriental theme of music and the western style of musical beats, arrangements and finalization.
Respectively, Amr Diab has achieved the World Music Awards twice, as best selling middle eastern singer in both his albums "Nour El Ain" in 1998 and "Aktar Wahed" in 2002. Also received a Platinum Award for the sales of "Nour El Ain". Visit the awards section in this site to know more about Amr's awards.
2004's summer witnessed the release of "Leily Nehary" album, Diab gave his fans what they've been longing for, a dazzling hit which blew their minds off and topped their sensations. "Leily Nehary" according to the production company "Rotana" and the fans is to be one of the most successful albums out in the market. "Kammel Kalamak" was released by December 2005 after a long anticipation from Amr's fans, according to the big sales records, the album was worth the wait! The album contains 10 tracks representing a year and half of continuous studio efforts.
Amr Diab's domestic life is just as rewarding as his musical career, married to Zena Ashoor, his children are Nour (girl), the twin Abdu-Allah (boy) & Kenzy (girl), and Jana (girl). The father Amr Diab is a great family man, who dedicates and cherishes his time to his family.
Amr Diab's hard work and passion to creating quality music and new stylized musical techniques was his ultimate aim throughout the years. He has certainly and clearly delivered to all his multi-national fans around the globe and proved that he is one of the best Middle Eastern singers with extraordinary talent, determination, charisma and charming appearance.

Abdelhalim Hafez




Abdelhalim Hafez ou Abdel Halim Hafez (arabe: عبد الحليم حافظ), de son vrai nom Abdelhalim Chabana, (né le 21 juin 1929, mort le 30 mars 1977) était un acteur et un chanteur très populaire en Égypte et dans le monde arabe durant les années 50 jusqu'aux années 70. Surnommé "al andalib al asmar" (le rossignol brun) en raison de sa voix envoutante, il est considéré comme l'un des plus grands chanteurs arabes, si ce n'est le plus grand, étant donné que ses disques et cassettes sont les plus vendus (les chiffres de ses ventes depassent celles d'Oum Kalthoum). Les chansons d'Abdel Halim passent encore sur les radios arabes, et beaucoup de ses chansons ont été reprises par des chanteurs contemporains. [1] Il est né le 21 juin 1929 à Al-Hilwat, un village situé dans la province d'Ash Sharqiyah en Égypte.Il est le quatrième enfant du cheikh Ali Ismaïl Shabana. Il a eu deux frères, Ismaïl et Mohammed, et une sœur Aliah. Sa mère meurt par la suite de son accouchement, et son père meurt cinq ans après, le laissant orphelin. Il part au Caire vivre avec son oncle et sa tante qui l'élèveront. Il se fait remarquer pour ses talents musicaux dès l'école primaire, ou il impressionne son professeur de musique Mahmoud Hanafi. Son frère Ismaïl était son premier professeur de chant. En 1940, à l'âge de 11 ans il part étudier la musique à l'institut arabe de musique au Caire ou il est connu pour chanter des chansons de Mohammed Abdel Wahab. Là-bas, il apprend en particulier à jouer du hautbois, et il ressort diplômé de cette école de musique en 1946.Il devient professeur de musique, mais il accumule les absences préférant se concentrer sur ses chansons. Il se fait licencier par le ministère de l'éducation nationale en 1951.Il chante dans des clubs du Caire et connait l'echec quand il se fait huer et jeter des tomates en 1952 à Alexandrie par un public qui n'appreciait pas qu' il chante ses propres chansons. Mais il devient definitevement célèbre lorsque qu'il doit remplacer à la radio à la dernière minute le chanteur Karem Mahmoud. Il devient l'un des plus célèbres acteurs et chanteurs de sa génération. Contemporain de géants tels que Oum Kalthoum, Mohammed Abdel Wahab, Farid El Atrache pour ne citer que ceux-là, il s'est détaché d'eux en apportant un nouveau souffle pour le «tarab» et l'art de la chanson. Ainsi, on le voyait décontracté et souriant sur scène; il aimait s'amuser avec le public et jouer le chef d'orchestre. Cette amour de la scène et du public, rompant avec l'attitude crispée de ses concurrents, est une des raisons de son exceptionnelle popularité. Mais ses performances scéniques et cinématographiques pleines de passion restent impressionnantes, car Abdelhalim souffrait continuellement; atteint de la bilharziose, il était aussi asthmatique et souffrait des séqqueles d'une fracture a la jambe. On a aussi raconté qu'il utilisait sa maladie pour s'attirer la sympathie du public féminin; mais sa mort des suites de cette maladie fait taire ces accusations. Parmi ses inoubliables concerts, on note une prestation a l'Olympia de Paris en 1974. Sa dernière apparition sur scène remonte a mars 1976, et il décède alors qu'il préparait l'interprétation de "Min ghir lih". Cette composition qu'il n'a pu interpreter sera chantée en son honneur par Abdelwahab en personne. Ses principaux collaborateurs furent Mohamed el Mougy et Kamal Ettaouil (ses vieux amis), le géant Abdelwahab, et d'autres artistes tels que Baligh Hamdi, Mohamed Hamza ou le grand poète syrien Nizar Qabbani. Abdelwahab l'avait pris sous son aile, impressionné par la voix de son jeune concurrent; une grande amitié se liera entre lui et Abdelhalim, qui était aussi l'ami de Farid el Atrache. En revanche, le rossignol a connu la dispute avec deux stars de la chanson arabe, Oum Kalthoum et Warda.Abdelhalim était aussi un grand ami du président egyptien Gamal Abdel Nasser; il a connu le succès a l'epoque de la revoulution nassérienne, et faisait partie des préférés du president. Abdelhalim a interprété plusieurs chansons patriotiques et chantait lors des fêtes qui celebraient l'anniversaire de la revolution.Abdel Halim ne s'est jamais marié, mais des rumeurs persistantes parlent d'un mariage secret avec l'actrice Souad Hosni qui aurait duré six ans. Les amis d'Abdel Halim et de Souad Hosni continuent toujours aujourd'hui à nier ce mariage. Souad se suicide le 21 juin 2001, à l'anniversaire d'Abdel Halim.Quand il était jeune, il est tombé amoureux d'une jeune fille avec laquelle il voulait se marier. Mais les parents n'ont pas donné leur accord. Quatre ans après, les parents ont donné leur permission pour le mariage, mais elle meurt d'une maladie juste avant le mariage. Abdel Halim ne s'en est jamais remis, et il a consacré ses plus tristes chansons à cette femme, dont Fi Youm, Fi Shahr, Fi Sana et Qariat el-Fingan.Il meurt le 30 mars 1977 au King's College Hospital de Londres, des suites d'une bilharziose qui l'a affecté dès 1940 apres une baignade dans le Nil, et dont il souffrira chroniquement à partir de 1955. Des milliers de personnes ont assisté à son enterrement au Caire, ce sont les plus grandes funérailles d'Égypte après celles du président Nasser et de la chanteuse Oum Khaltoum. Quatre femmes se sont suicidées à l'annonce de sa mort.Le chanteur Jay -Z reprend en 1999 la musique de la chanson Khosara pour sa chanson Big Pimpin. En 2006 sort un film dans le quel Ahmed Zaki incarne son ami Halim; apres son decès d'un cancer pendant le tournage en 2005, c'est son fils qui finira le tournage. La chaine MBC a, elle, difusé pendant le mois du ramadan 2006 un feuilleton qui retrace la vie de cette légende. C'est dire la popularité et l'interet que suscite Abdelhalim, 30 ans apres sa mort prématurée qui avait plongé dans la tristesse des miliers de fans. Ses chansons les plus célèbres sont "zay el hawa", "gana el hawa", "ahwak", "fatet ganbina", "sawah", "bilomoni leih", "nebtedi mnin el hikaya" ou encore l'immense "qariat el fingan" (N.Qabbani et M.Mougy).Cette chanson fait parler une sorte de voyante, qui s'adresse a un jeune homme, lui parlant de sa vie, de sa bien aimée qu'il cherchera toute sa vie mais qu'il ne trouvera jamais. Cet ultime et tres célèbre succès de Halim ,interprété en 1976, illustre le tragique destin du rossignol.Du coté chansons patriotiques, on connait bien "nasser ya horeya" (dediée au president Nasser), "al watan al akbar" (avec chadia, warda, sabah), "bil ahdhan" ou "ehna el shaab"Source : Wikipedia

Saida Fikri


Saida FikriSaida Fikri , auteur, compositeur et interprète d'origine marocaine, un grand talent de la chanson marocaine, une voix qui a promis d'aller loin, elle chante contre le racisme, contre l'intolérance, elle chante l'amour et la paix.Saida a commencé à chanter à l'âge de 8 ans, a compose sa première chanson à l'âge de 12 ans. Elle fait partie de cette génération de chanteuses qui ont coeur de présenter au publique un repertoire d'une grande qualité.Son grand souci a toujour été de créer une chanson d'un genre nouveau. Dans ce sens Saida a créé son propre style. Parolier, compositeur et interprète, Saida réalise sa chanson du début jusqu'à la fin.Huit albums maintenant révèlent les potentialités de cette artiste et sa capacité de s'imposer grace a un style inédit qui allie dans un souci de perfection diverses cultures et musique, une musique qui plaît aux jeunes et les interpelle.Saida Fikri a commencé sa carrière professionnelle en 1994 avec une sortie d'un premier album pendant la même année qu'un grand concert à la grande place de Bruxelle en Belgique. Des milliers de personnes se sont rasemblés sur la place après une marche contre le racisme et la discrimination. Le concert était organisé par J.O.C.Saida s'est produite plusieures fois au Maghreb et en Europe. Invitée en 1998 à représenter la femme maghrébine par le gouvernement belge, elle a donné des concerts et des conférences de presse. La meme année elle a donné un grand concert dans la salle <<>> à Amsterdam, une salle consacrée au grandes stars mondiales. Cette tournée en Hollande a été organisée par la production W.F. CONCERT DIVISION.Aujourd'hui Saida Fikri vit aux Etats-Unis ou elle a fait sortir un album pour le marché américain intitulé <<>>. Cet album est basé sur des thèmes d'amour et de paix dans le monde. Son huitième et dernier album 2006 <<>> est enfin sur le marché pour ses fans au Maghreb et en Europe. Saïda Fikri, chanteuse et guitaristePARCOURS BIEN ACCORDÉUn grand talent de la jeune chanson marocaine et maghrébine qui monte, qui monte...Saïda Fikri,une voix qui promet d'aller loin. Elle chante contre le racisme, contre l'intolérance.Saîda FIKRIL'allure est sportive et la voix douce. Des cheveux épais entourent un visage aux pommettes larges et aux traits encore enfantins. Très peu de maquillage, pas de bijoux, Saïda Fikri est à l'image de la Maghrébine moderne. Pratique, battante, courageuse, conciliant sa vie de femme, de mère et d'artiste avec maestria. Née à Casablanca il y a une trentaine d'années, elle habite aujourd'hui à Mohammedia.C'est plus romantique de vivre en bord de mer » dit Saïda. Mère de deux fillettes, Rania etGhofrane et mariée depuis dix ans à Thami, elle est une femme heureuse au milieu des siens. Son mari, undécorateur et dessinateur aujourd'hui converti en fermier, sa famille et ses amis l'ont toujours soutenue danssa vocation.Tout commence au conservatoire de Casablanca. Saïda décide d'apprendre à jouer de la guitare.L'instrument qui l'accompagnera tout au long de sa jeune carrière.FiertéL'instrument grâce auquel elle a composé, à quatorze ans, sa première chanson , Liyyam. Pour la petitehistoire, Saïda a attendu de faire son quatrième album pour présenter Liyyam au public.Après avoir donné des cours de guitare, elle décide d'écouter ceux qui croient en elle et de chanter pour unplus large public.Au début, son public se limitait à ses sept frères, à sa sur et à ses parents aussi attentifs que fiers. Ilsécoutaient religieusement Saïda jouer de la musique "Country" et interpréter des chansons anglo-saxonnesdes années 50. Elle interprétait avec une aisance incroyable des succès de Dolly Parton, la reine du"Country".Ce n'est que bien plus tard qu'elle se mettra à chanter en arabe. Des textes engagés, qui parlent de pardon etd'humanité. Tous ces mots bien de chez nous accompagnés de musique moderne.Elle s'entoure d'une équipe de jeunes musiciens. L'arrangeur n'a pas plus de 27 ans. Ce qui plaîtparticulièrement aux jeunes qui en ont fait leur idole depuis longtemps.Ces derniers retrouvent leur haine de l'intolérance dans les textes de Saïda. Ils lui écrivent de tout leMaghreb, de l'Algérie en particulier. À cet égard, une précision s'impose: comme beaucoup le croient,Saïda Fikri n'est pas d'origine algérienne.SolidaritéElle est bel et bien marocaine, ce qui ne l'empêche pas de se sentir solidaire avec tout le Maghreb enparticulier et tout le monde arabe en général.Il faut dire que lorsqu'on écoute ses chansons, on a l'impression qu'elle parle de la souffrance du peuplealgérien. Par exemple, dans son dernier album, elle chante pour les victimes des inondations alors qu'onpourrait croire qu'elle parle des victimes de la guerre en Algérie.Pour Saïda, le plus important est que les gens partagent avec elle sa douleur. Qu'ils soient d'ici oud'ailleurs, les admirateurs de Saïda Fikri sont unanimes à propos de celle dont ils ont fait leur idole: Elle estlucide. C'est la meilleure disent-ils, non sans fierté.Seulement voilà , tout le monde ne partage pas cet avis. Les amoureux du classique crient même auscandale. Pourtant, elle ne fait rien d'autre qu'être une chanteuse de son temps. En un mot, une chanteusemoderne.Le fait qu'elle s'accompagne d'instruments tout ce qu'il y a de plus occidental n'empêche en rien la grandequalité de son travail. Au contraire, il faut souligner la prouesse technique de l'adaptation de ces tonalitésorientales à une musique occidentale.Saïda Fikri est une travailleuse acharnée. Tous les jours, elle s'astreint à fignoler ses textes, sa voix, samusique. Un rituel, une passion.&laqno;J'ai mon petit coin à la maison. Et quand vient le soir, le moment que je préfère, je prends maguitare et je chante», confie Saïda. Pour l'inspiration, elle n'a qu'à regarder les infos ou lire la presse.Parfois, c'est son frère qui lui écrit ses chansons. D'autres qui les composent. Mais l'important pour elle,c'est chanter. Les Centres culturels français de Casablanca et de Tétouan l'invitent toujours à venir chanterau sein de leurs locaux.Une seule fois, elle a participé à un festival, celui de Saïdia. Elle n'oubliera pas de sitôt l'accueil qu'on lui aréservé là -bas. &laqno;Ce sont ses petites attentions qui m'empêchent d'être découragée».En effet, Saïda avoue avoir du mal à vivre de son art. Au Maroc, peu d'artistes peuvent prétendre à vivre deleur talent. Mais il faut dire aussi qu'en matière de médiatisation, à chacun sachance.ProuesseDepuis qu'elle chante en professionnelle, la télévision n'a plus fait appel à elle. Pourquoi? Saïda Fikri necomprend pas. Nous non plus. Pourtant, elle en est à son quatrième album et le cinquième est enpréparation. Elle est connue dans tout le Maghreb.En 1993, Saïda sort son premier album. En 94, elle se produira en Europe à l'occasion de son 2ème album.Amsterdam, Bruxelles sur une grande place... Elle chantera contre le racisme, contre l'intolérance.L'accueil qu'on lui réserve est plus que chaleureux. Forte de ce succès, Saïda retournera au Maroc avec laferme intention de faire encore mieux. Mais c'était mal connaître la frilosité des producteurs et autresmédias marocains. Malgré tout, Saïda continue.Frilosité&laqno;Je n'ai pas de sponsors donc pas de moyens. Heureusement que des gens croient en moi.»raconte-t-elle. Mieux encore, elle y va de ses propres deniers pour produire ses albums.Elle n'a encore jamais enregistré sur compact-disc, un rêve, même si ses cassettes se vendent comme despetits pains.Tout le monde la connaît. Tout le monde apprécie les chansons de ce petit bout de femme. Elle va d'ailleursenregistrer une chanson avec Malek sur l'environnement pour l'émission "Al biaa wa nass" de la chaînetélévisée RTM. Elle compte par la suite tourner un clip.Il est temps d'ouvrir les oreilles.

Tamer Hosny




Tamer Hosny (En arabe : تامرحسني ; Tamer Hosny est né à Abbas au Caire, le 16 août 1977) est un chanteur, un acteur et un compositeur égyptiens.

Nancy Ajram


Nancy Ajram née le 16 mai 1983 à Achrafieh (Beyrouth), est une chanteuse libanaise.Nancy Ajram est nommée par l'hebdomadaire américain Newsweek comme l'une des chanteuses les plus influentes du monde arabe en 2005. Nancy Ajram est une icône de la beauté libanaise et rivalise dans le cœur des adolescents du Moyen-Orient et du monde arabe en parallèle avec les chanteuses Elissa et Haifa Wehbe.Nancy Ajram commence à chanter dès sa jeunesse en participant à des concours pour la chaîne de télévision libanaise arabophone LBC. Nancy Ajram gagne un concours en chantant un morceau d'Oum Kalthoum dans l'émission Nogoum al-Fan (Les étoiles de la chanson) sur Future TV.Nancy Ajram est élue successivement en 2003 et 2004 comme meilleure chanteuse arabe par le magazine Zahrat al-Khalij. Nancy Ajram est désormais l'image médiatique de Coca-Cola dans le monde arabe après avoir été celle de Pepsi.Sa carrière a réellement commencé en 2003, quand avec Akhasmak ah, Nancy Ajram a su imposer un nouveau style. Nadine Labakeh, une réalisatrice libanaise, dirige le tournage de tous ses clips. Nancy Ajram chante des chansons plutôt simples mais très originales.

Fadel Shaker


Fadl Abdul Rahman Shamandar a été né au début de l'avril 1969 dans Sadah, Liban. Ensuite tandis que, Fadl décidait de changer son nom comme son oncle avait fait plus tôt et ainsi est devenu officiellement connu comme dispositif trembleur de Fadl. En tant que jeune garçon, Fadl avait toujours rêvé de la renommée et du stardom et avait continué à essayer de réaliser ces rêves depuis qu'il était 16 années. À sa ville natale, Fadl est resté une voix familière dans les mariages et les parties, jusque finalement à son occasion magnifique sont venues quand il a composé une chanson ; Matah Habebi Matah. Il a alors contacté la compagnie célèbre Kheyoul de production et la compagnie crue en son talent dans la mesure où elles l'ont signé vers le haut pendant 10 années. C'était alors que Fadl a commencé à travailler à son premier album. L'EL-Sharnouby égyptien de Salah de compositeur était un joueur principal dans ce processus ; il a travaillé avec le chanteur se levant et le premier album Walah Zaman a été libéré en 1998. Etant donné le succès énorme l'album réalisé, le chanteur a frappé encore après juste un an avec son '' de Baya d'album un EL-Oloub. C'était un succès important et sa popularité écartée largement parmi l'Arabe évente en peu de temps. En 2000, Fadl était prêt avec du son troisième Al-Adeem d'Al-Fraise-mère de chef d'oeuvre et puis plus tard la même année où il a remonté un album des anciens qu'il avait enregistrés et Sahret appelé Tarab 2001. Ce n'était pas tout qu'il a fait cette année cependant ; il a également enregistré une chanson pour la Palestine ; Oghneyet Alaqsah. À ce jour, le chanteur était sur un roulement et avait réalisé la renommée et le succès au niveau arabe et local. Son cinquième album Hobak Khayal a frappé les marchés en 2001 après le dégagement du duet immensément réussi Ahawel ; cela a été exécuté par lui et le chanteur koweitien Nawal. L'année suivante était témoin du dégagement de son coup Ya simple Ghayeb et son EL-Dounya sensationnel de Dehket d'album. Ceci a transformé le chanteur en figure très populaire et admirée parmi les générations plus jeunes. Fadl travaillé dur pour maintenir le succès et la popularité qu'il avait réalisée avec ses chansons et albums précédents. En 2003, son prochain album Sedey Rohey a vu la lumière et était comme réussi juste que ses travaux précédents sinon davantage ! Le chanteur libanais a récemment indiqué sa plus défunte aile du nez simple Albey de loi qui doit être suivie sous peu de son album beaucoup prévu. Quant à sa vie personnelle, elle est comme intéressante et réussie justes que le sien travail. Le Word l'a que le chanteur célèbre a rencontré son épouse Nadia en partie tandis qu'il chantait et c'était le coup de foudre. Il a proposé à elle peu après et ils ont attaché le noeud quand il avait juste 20 ans. Les couples ont maintenant trois enfants Alhan, Mohamed et Rana.Le dispositif trembleur de Fadl a été soutenu dans le 1er avril de 1969 dedans (Saida) au Liban du sud (EL Genoob d'Ibn), il habite à Beyrouth dans la petite ville appelée « l'aile du nez de '' de Marta ».Fadl était jeune très doué, et son talent musical a commencé il y a de 15 ans. Il a voyagé wiedly dans toute sa carrière comme chanteur organisant les parties privées et exécutant des concerts dans les boîtes de nuit où il chantait beaucoup de mélodies pour la plupart de légendes arabes comme l'UM Kalthoom, Abdul Haleem Hafez, EL de Fareed Atrash, Mohamed Abdul Wahab et beaucoup d'autres chanteurs célèbres de sa génération aussi bien. Il avait souffert beaucoup quand il était un jeune pour atteindre un tel succès dans son domaine.Le dispositif trembleur de Fadl est marié de la jolie femme de Palestine appelée (Nadia) et il ont 2 enfants, un garçon (Mohamed) et une fille (Alhan), et lui prévoyant pour son 3ème enfant.En 1997 Fadl était célèbre entre ses amis et ses voisins et lui devient la voix douée très célèbre, ainsi, il a été choisie par (Stallions Company) qui était compagnie très célèbre dans la portée d'enregistrement, et il a signé un contrat avec cette compagnie dans tout leur agent à Beyrouth pour produire 3 albums pour lui… et c'était le vrai début dans la vie du '' s de Fadl.Et en 1998 c'était le moment pour le premier album pour le dispositif trembleur de Fadl (Wallah Zaman) qui contient 8 chansons telles que le méta de Habeby de méta, Nazra Wahda… et dans cet album qu'il traite très connu tient le premier rôle en composant et l'inscription comme l'EL Sharnoby et Ahmed Sheta de Salah.Le deuxième album était « '' de Baya par EL Qolob » libéré en 1999 et en peu de jours cette chanson devient # 1 dans tous les diagrammes des canaux et des stations de radio, et d'en raison des ventes énormes qu'il a décidé de tirer 2 agrafes visuelles « '' de Baya un EL Qolob » et « Eesheqtak ». Après cet album Fadl deviennent un de superstars arabes. et son troisième album était « EL Adem de fraise-mère d'EL » dans 2000 qui contient la chanson très célèbre « hommes Shafak de cendre » et comme albums précédents, il était sur le dessus de tous les diagrammes aussi bien, et son dernier album « Hobak Khayal » dans 2001 qui était contient 10 chansons cette fois, était avec Al Khoyoul Company et lui contient des chansons comme « Hazzak Ya Qalby », « hommes Kotr Hoby Feek », et « EL Maraya ». En 2002, Fadl a enregistré et a libéré son premier duo avec le plus grand chanteur de Khalijian (Nawal)…. et pendant 5 mois entiers cette chanson était sur le DESSUS de tous les diagrammes et les ventes enregistre partout les pays et lui arabes choisis par tous les critiques pour être le meilleur duo dans l'histoire des chansons de Khalijian, particulièrement après l'agrafe visuelle chaude qui a dirigés près (EL Doghajy d'Ahmed).Le dispositif trembleur de Fadl a plusieurs tentatives composantes dans son premier album dans 3 belles chansons célèbres (méta de Habeby de méta, Maserak Habeby et Ya Tkon Habeby), et une autre chanson dans sa 22eme sorcière d'album était « '' de Malet Ana A azar », il le '' t de didn composent toutes les autres chansons dans ses albums suivants, mais il se prépare à quelques nouveaux airs dans ses prochaines chansons, composé tout seul.Le dispositif trembleur de Fadl a été toujours préoccupé par le chant Maqamat le plus dur des mélodies arabes dans ses chansons, et lui essayant toujours de maintenir notre identité arabe dans toutes ses chansons, il n'a jamais employé aucune mélodie occidentale ou essayant à copier n'importe quel autre chanteur arabe ou occidental, il essayant toujours juste d'être et de se prouver… et maintenant, Fadl a lui-même son propre modèle et ses propres hauts ventilateurs.Durant toute sa vie, Fadl a gagné beaucoup de récompenses arabes de tous les pays arabes pour ses chansons et agrafes, et en juste quatre ans (1998 - 2002) il devient l'une de nos plus grandes légendes arabes et ses ventilateurs augmentent le jour par jour et maintenant il est connu entre tous ses ventilateurs en tant que le « EL Romansia de Malek » ou roi de '' de '' roman.Le dispositif trembleur de Fadl a participé à beaucoup de festivals partout les pays arabes… en Egypte, Liban, Kowéit, Emarat, et dans beaucoup d'autres pays, et récemment il a participé au grand festival en Palestine sur l'honneur de (houx Intifadah) avec tout l'arabe tient le premier rôle.Il y a peu de mois, Fadl a libéré dans toute la station par radio son nouveau coup (Ya Ghayeb) qui choisi dans des tous les canaux pour être la MEILLEURE CHANSON POUR 2003, même avant qu'il libèrent son plein album ou même le tirent, mais la chanson devient # 1 dans tous les programmes et la chanson préférée pour toutes les nations arabes, Fadl acheté toutes les droites de l'air de cette chanson du compositeur grec et du lyrique sont écrites par le prince (EL Sudairy d'Abdel Rahman de casier de Turky) qui a également écrit une autre chanson du '' s prochain « Dehkat appelé par album Eldonya » de Fadl.Les passe-temps du '' s de Fadl pêche dans son propre bateau dans sa belle ville (Saida), et il aime à jouer le piano, et il aime tous les sports navals, et pour écouter la vieille et nouvelle musique avec son épouse et enfants.Traduit depuis un texte en Anglais

Abdellah Daoudi


Elmakhlouk Abdellah alias Daoudi
Ses debuts...
Le 12 octobre 1972 naissait à Casablanca (Maroc),Elmakhlouk Abdellah, surnommé Daoudi en hommage à ses origines, puisqu’il venait de Ouled Sidi Bendaoud, tribu du petit village de Ghissar dans la région de Sttate (Maroc). Daoudi s'initia très tôt a la musique populaire et traditionnelle marocaine, et plus particulièrement au répertoire du châabi. Daoudi délaisse même l’école à l’âge de 18 ans pour se consacrer à sa seule passion : la chanson.
Ce sont les fêtes de fin d’année qui lui ont permis de concrétiser son rêve. Daoudi enchaîne en apprenant à jouer d’instruments de musique avec ses amis, et en mémorisant les chansons châabi marocaines.
En 1993, Daoudi rejoint le groupe « Noujoum el Samare» en qualité de choriste. Ses qualités vocales furent vite appréciées du groupe qui lui propose alors d’enregistrer deux chansons dans leur album « NADIA ». C’est alors le déclic, car en 1996 Mustapha Bourgone le sollicite pour l’enregistrement de ses albums et l’entraîne dans ses tournées.
C’est en 1998 qu’il décide de sortir son premier album, ainsi que plusieurs cassettes au nom de DAOUDI. Mais devant les résultats décevants, il comprend vite que pour se démarquer il doit changer de méthode.
En mars 1999, il entame une grande tournée aux Etats-Unis avec le roi de NOUJOUME BOURGHOUNE, Mostapha Asmir Kindi ( Boston, New-York, Washington DC etc......)Il décide alors de rester quelques mois de plus aux Etats-Unis pour acquérir la maîtrise du violon et travailler son propre style. C’est là qu’il rencontre Cheb Nasro qui le conseille et l’encourage.
De retour au Maroc en 2000, Daoudi décide d’enregistrer son album, « Ayta Daoudia », qui devient tout de suite un grand succès national, puis un tube international. Cela lui vaudra la reconnaissance du public, qui lui réserve un accueil chaleureux. Presse spécialisée, media télévisés, tous saluent son succès.
Cet album, qui est le fruit de plusieurs années de travail, témoigne de la qualité de Daoudi à tous les niveaux, que ce soit pour les arrangements, les rythmes, les paroles ou cette voix qui lui vient de coeur... sans oublier sa maîtrise du violonqui a su charmer son public !
Daoudi fait partie de ces chanteurs qui ont réussi à se forger une place dans la chanson marocaine châabi : il est devenu en quelques années une référence dans le monde de la chanson chaabi marocaine.

Cheb Bilal


MOUFOK BILAL Né le 23 juillet 1966 à Cherchel en Algérie, Cheb Bilal a été élevé à Oran et y a suivi les cours du conservatoire de musique. Parfaitement bilingue, Cheb Bilal a aussi appris son métier en se produisant dans de nombreuses fêtes et mariages locaux, puis fonde son groupe, "El Ahouar".
Sidi Sidi - En 2002, c’est enfin la reconnaissance avec une signature dans un label important et la parution d’un véritable premier album, Sidi Sidi.
Cheb Bilal y présente une musique assez traditionnelle mais teintée de cuivres, de violons et de congas !
Les chansons de Cheb Bilal offrent une véritable promenade méditerranéenne. Cheb Bilal rejoint ainsi les Cheb Khaled, Cheb Faudel et autres Cheb Mami dans le club très fermé des vedettes du raï. Cheb Bilal continue son chemin dans la chanson Rai et ne cesse de progresser. MARSEILLE -Cap sur Marseille en 1989.
Dans la cité phocéenne, Cheb Bilal continue d’écumer les manifestations en tous genres et fait connaître son oeuvre par la diffusion d’une soixantaine de cassettes audio (à retenir Ghorba ou L’herm, la toute première).
Cheb Bilal y fait ses vrais débuts sur scène, en ouverture de Cheb Hasni.
Le public marseillais est conquis... Un bouche à oreille efficace lui permet petit à petit d’attirer l’attention des médias. Pierrick Roux
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Tamni Reda


Tamni Reda alias Reda Taliani est un chanteur et un musicien de raï algérien né en 1980 à El-Biar, une commune de la ville d'Alger. Aujourd'hui, il habite à Aubagne (Bouches-du-Rhône), près de MarseilleA l'âge de 5 ans, il poursuit une formation musicale au conservatoire de la musique arabo-andalouse de Koléa où il se met à l'étude de la mandoline et à d'autres instruments de musique.Reda Taliani débute sa carrière musicale dans la ville El Eulma en Algérie avec le producteur ISSAME de la production Eleulma phone avec qui il collabore pendant 4 ans, pour changer ensuite de producteur (Dounia production) et devient l'un des meilleurs chanteur du raï. Reda Taliani est un des chanteurs algérien contemporain le plus adulé des pays du Maghreb.Les chanteurs et musiciens qui l'influencent le plus sont Cheb Khaled, Sahraoui, Georges Wassouf, Santana, Bob Marley, Alpha Blondy qui sont ses chanteurs de référence. Il suit l'influence de la modernité de la chanson algérienne et du raï qu'il considère comme très riche dans sa diversité.[1]La musique de Reda Taliani allie harmonieusement chaabi, raï et d'autres styles musicaux traditionnels du Maghreb, dans plusieurs de ses chansons il décrit la triste réalité des jeunes en Algérie. Ses chansons expriment des textes fort au point où certains polémistes en mal de critiques qualifient d'excessifs et menant au suicide des jeunes certaines de ces chansons.Aujourd'hui, il a été révélé aux yeux de la scène Rap-R'n'B Française avec "Partir loin" avec le 113

Chaba Zahouania


CHABA ZAHOUANIA (Cheba), de son vrai nom Halima Mazzi est née en 1959 à Oran d'un père marocain et d'une mère algérienne. D'abord chanteuse dans un ensemble féminin de meddahâtes, c'est en 1981 qu'elle réalise son 1er enregistrement. La reconnaissance arrive 5 ans plus tard avec "Khâli ya khâli" (Mon oncle, oh mon oncle, 1986) qu'elle interprète en compagnie de Cheb Hamid. 1987, c'est le succès avec "El Barraka" (La Baraque), une chanson sulfureuse qu'elle chante en duo avec le regretté Cheb Hasni.Longtemps les cassettes de la chanteuse ne seront illustrées que d'une simple photographie de magazine ; et si elle donne des concerts dès 1987 à Alger, il faudra attendre Février 1992 pour voir une de ses premières photographies publiée par le quotidien français "Libération". Au lendemain de l'assassinat de Cheb Hasni survenu à Oran le 29 septembre 1994, Cheba Zahouania quitte l'Algérie et s'installe en France. Celle qui s'est choisi Zahouania (La Joyeuse) pour nom de scène, excelle aussi bien dans le registre du raï traditionnel des cheikhât que dans le raï moderne.Avec sa voix gutturale et voluptueuse, elle compte parmi les grandes figures du raï d'aujourd'hui.
Dès les premières notes, nous voilà plongés dans l’univers dense et nocturne de la princesse raï. Pas d’empressement, le rythme s’ébroue souple comme le trot du pur sang. L’environnement musical demeure dans le haut de gamme du raï production maison. C’est-à-dire qu’au lieu d’un accompagnement entièrement programmé sur ordinateur — le plus courant pour la majorité des productions made in Maghreb — quelques instruments sont joués par de bons musiciens, en dépit du synthé omniprésent. Madame a pourtant sa petite coquetterie. Pendant les six premiers morceaux, dont “Yana yana” (Moi rien que moi) qui donne son nom à l’album, toutes les parties chantées sont retraitées par un “harmoniser” qui travestit la voix. On comprendrait qu’elle ait eu envie de jouer avec cet effet sur une ou deux chansons, mais six, et qui se suivent en plus !... Lorsqu’au septième morceau, on retrouve la plénitude de ce grain inimitable, cette voix qui déchire et enflamme, condamne et console, possède et se lasse, on se dit qu’aucune électronique n’aura jamais raison de la beauté sauvage qui gronde dans sa gorge, ni du velours soyeux qui caresse l’oreille. Zahouania sera toujours cette diva. Dommage qu’elle ait dû satisfaire à la boulimie des producteurs qui lui ont fait enregistrer plus de 100 albums au lieu de lui confectionner un écrin musical à la hauteur de son talent

Bouchnak


On les avait surnommés les «chevaliers du raï» mais, bien que natifs de Oujda, l’une des plus grandes capitales du raï avec Oran, bien sûr et Paris, leur musique va au-delà du genre créé à Wahran la voisine. C’est d’avantage une synthèse entre les divers (et riches) courants qui traversent le Maroc, plus le raï. Chez les frère Bouchnak, la chanson est avant tout une affaire familiale. A commencer par le père Benyounès dit «Afandi», un musicien très célèbre dans le milieu de la musique arabo-andalouse, version gharnati (Gharnata est le nom arabe de Grenade), qui a débuté a l’age de 9 ans via la sélect association « al andalousi » de Oujda.Benyounès a inculqué à ses enfants l’amour du gharnati et c’est tout naturellement qu’on retrouve les traces dans leur répertoire. Quand à leur regrettée mère Zineb, elle était fan des Gnawas et de leur musique aux vertus thérapeutiques.Elle les faisait venir régulièrement à la maison à l’occasion des fêtes religieuses ou familiales. Les frères Bouchnak en ont gardé le sens du tempo et l’art de l’entrée en transes. Ils commencent leur parcours par des animations lors des saisons de mariage et de circoncision et parviennent même à effectuer quelques circuits dans des petites salles. En 1983, toujours encouragés par leur père, Réda, Hamid, Omar et Mohamed enregistre une première cassette. Le succès est rapide et une des chansons « janoura » leur permet de remporter le premier prix du concours « Adoua El Madina ». Ensuite s’enchaîne harmonieusement à l’image de leur style, la touche Bouchnak, qui intègre coté paroles, du « malhoun », poésie raffinée, et des mots (et maux) de tous les jours,et, au niveau musical, autant la tradition berbère que la rénovation urbaine. Devenus des stars, ils sont réclamés un peu partout dans le monde arabe et en Europe, particulièrement aux Pays-Bas où ils comptent de nombreux admirateurs. En 1992, besoin de se renouveler ou volonté de mettre chacun en avant sa propre sensibilité, le groupe divorce à l’amiable et leur chant du cygne, ils le présentent sous la forme d’un enregistrement dans lequel ils ont conjugué plus que d’habitude leurs talents. C’est « Ana Ghadi » (Moi je m’en vais), sous-entendu « accomplir mon destin », le plus beau cadeau de rupture qu’ils aient pu offrir à leur public. Mais on est loin du clash final car les quatre frères continuent à se voir et à collaborer ensemble. L’une des réussites la plus évidentes est cele de Hamid, né le 13 mai 1969, qui chantait avec ses frères à l’âge de 5 ans. Le doué benjamin, signataire, des plus importants titres de la formation (les textes sont souvent écrits par Reda) et voix leader de la bande, s’était déjà distingué par quelques escapades en solitaire. Toutefois, c’est par le biais d’albums comme « Rahet liyyam » (1995), « Ya Bent Ennas » (1996) et surtout « Laâfou Ya moulana » qui avait nécessité plus de quatre mois de travail dans un studio à Lille, que Hamid a pu imposer son prénom. Au passage, il a même raflé le prix de la meilleure chanson francophone décerné par MCM pour l’interprétation d’un morceau « il ne nous reste plus d’espoir » transformé en mélodie populaire. En 1998, Hamid s’est illustré par un air appelé à faire le tour des stades puisqu’il a été composé en hommage à l’équipe nationale marocaine qui en est à son quatrième Mondial. Après une absence de 3 ans, Hamid, (devenu , depuis citoyen franco-Marocain) fait un retour fracassant avec « Moussem », un album réussi et bien abouti, lancé à partir de Marrakech, en juin 2004. Avec cet Album, Hamid marque un tournant dans sa carrière : nouvel encadrement professionnel, nouveau look et nouvelles évolutions sur scène.

Cheikha Rimitti


Biographie 2005
« C'est joyeux comme le Funk et profond comme le Blues… Creuset de tous les espoirs et de toutes les mélancolies, la musique RAÏ a de qui tenir son âme …» (Nourredine Gafaïti)
RIMITTI naît française, au début des années 20 dans la région oranaise, Algérie. Orpheline très tôt, elle mène une vie difficile et bientôt dissolue, traînant de quartiers en quartiers, dormant dans les hammams et frôlant parfois l’illégalité. A l’âge de 20 ans, elle se lie à une troupe de musiciens Hamdachis, avec qui elle partagera une vie de troubadour, chantant de cabaret en cabaret et dansant souvent jusqu’à l’épuisement. A cette époque, de terribles épidémies s’abattent sur le pays (Albert Camus l’a relaté dans son roman « La peste » ayant pour cadre Oran), et viennent accentuer le sordide déjà pesant du quotidien. Rimitti s’inspirera de ce spectacle de désolation pour improviser ses premiers vers et son répertoire sera en grande partie une évocation de ce vécu. "C’est le malheur qui m’a instruit, les chansons me trottent dans la tête et je les retiens de mémoire, pas besoin de papier ni de stylo » De cette époque, elle préférera néanmoins conserver les souvenirs de fêtes « …je participais aux fêtes en l’honneur des Saints, entre Relizane, Oran et Alger…Les festivités duraient une semaine et les gens venaient de toute l’Algérie. On invitait les plus grandes chanteuses, comme Oum Keltoum ou Cheikha Fadela La Grande… Moi en plus de chanter, je montais à cheval lors de la fantasia, avec un fusil dans chaque main et je tirais. Il y avait les gendarmes qui applaudissaient, le préfet qui me félicitait… »
Son premier enregistrement date de 1952 quand Pathé Marconi sort un 78 tours comportant le fameux « Er-Raï Er- Raï », mais c’est en 1954 que Rimitti s’impose comme la référence absolue avec son titre « Charrak Gattà », où ses contemporains y voient une attaque en règle contre le tabou de la virginité (« Il me broie, me bleuit // il m’attise…. il m’abreuve, je dis je pars et je passe la nuit // malheur à moi qui ai pris de mauvaises habitudes…).Il faut rappeler que Rimitti a chanté dès les années 40, la difficulté d’être une femme et a introduit la notion de plaisir charnel. Mais son champ thématique ne s’arrête pas là. Elle a exploré toutes les formes de l’amour, célébré l’amitié, tenté d’expliquer les noyades dans l’alcool, déploré l’obligation d’émigrer et tancé les moralistes. Elle qui avait osé chanter une ode à l’Emir Abdelkader dans les cafés juifs, en pleine guerre de libération, va subir dès l’indépendance les foudres de la censure FLN.Sa poésie lui vaut dans les années 60 « l’excommunication nationale »… réponse démesurée et cynique d’un nouveau régime dit de « libération nationale » pourtant empreint de traditionalisme religieux.
Elle a depuis composé plus de 200 chansons, constituant un véritable « répertoire réservoir » dans lequel se serviront allégrement ses successeurs (comme « La Camel », reprise et popularisée par C.Khaled…)Pour tous les musiciens de Raï, elle incarne une reine, « LA » grande dame vénérée par tous les chanteurs de la jeune génération qui voient en elle « la Mère du genre » (Rachid Taha lui dédie une chanson, « Rimitti »). Une véritable légende s'est ainsi tissée autour de cette femme qui hante l'imaginaire collectif du Maghreb depuis plus d'un demi-siècle. Rimitti, redécouverte depuis quelques années par une nouvelle génération, est une visionnaire. Ses chansons, martelées depuis un demi siècle n’ont jamais été aussi proches de la réalité sanglante de l’Algérie des années 90, décennie de tous les dangers (Pour les femmes surtout dont Rimitti fut la porte parole la plus audacieuse et la plus lucide)
« Entre temps, l'Occident a pu succomber à sa voix langoureuse, douce mais âpre, ajoutée à un art consommé de la danse.... » (R.Mezouane)Au gré de concerts prestigieux donnés dans les grandes capitales mondiales, Rimitti est devenue la principale ambassadrice du Raï (New York, Paris, Londres, Amsterdam, Stockholm, Genève, Madrid, Milan, Berlin, Le Caire…)Elle reçoit entre temps le Grand Prix du Disque 2000 de l’Académie Charles Cros. Mais c’est à un autre titre, et au seul en fait, que Rimitti s’accroche, celui de « Cheikha » (la doyenne) !Plus qu’un titre, le terme « Cheikha » est la marque indélébile de son parcours, emblème du large sillon creusée par sa vie de « Franco-Algérienne rebelle »
Rimitti ne veut pourtant pas vieillir… Le cœur et l'esprit toujours alertes, elle se veut sans cesse la représentante d’une certaine forme d’avant-garde. Avec l’introduction d’un « band » moderne (basse, batterie, claviers, cuivres) se juxtaposant aux musiciens traditionnels, (Bendir, tar, gasbâ et gallal) Rimitti laisse très tôt entrevoir une nouvelle voie, valable non seulement pour le Raï, mais aussi pour l’ensemble des musiques arabes. Refusant dès le début la voie du « raï variété » empruntée par la génération des « Chebs », elle privilégia plutôt la variété du style offert par le Raï. Ses collaborations avec Robert Fripp et Flea des Red Hot Chili Peppers sur l’album "Sidi Mansour" (1994) illustrent dans la forme un virage « électrique » pris à la fin des années 80.
Résolument progressiste, elle assure la transition d’un Raï reposant sur ses bases traditionnelles, indispensables à la mise en place de la « transe », à celle d’un Raï « enrichi et raffiné » aux rythmiques et sonorités plus modernes. Elle dessine les contours d’un Raï pouvant un jour être appréhendé comme un courant musical majeur. Un style mêlant les influences africaines des Gnawa et les harmonies arabo-andalouses de la musique Châabi aux paroles crues et souvent improvisés de cette Soul algérienne.
Aujourd’hui sort « N’Ta Goudami », un nouvel album, qui dans le prolongement de « Nouar » (2000) démontre une nouvelle fois la diversité de son art, indique la voix à suivre et impose une nouvelle fois Rimitti comme la diva du Raï.