samedi 8 septembre 2007

Majda Al Roumi


Biographie de Majda Al Roumi
Années actives Le début des années 70 - présent Site Web Emplacement du ventilateur de Majida EL Roumi (l'arabe de Majida : le ماجدةالرومي, également transcrit en caractères différents comme Al Roumi de Majida) a été soutenu dans Kfarshima, Liban le 13 décembre, 1956. Elle est un chanteur libanais qui a commencé au début des années 70 sa carrière musicale quand elle a participé à l'exposition de talent, ventilateur d'EL de studio sur Télé Liban et a gagné la médaille d'or pour le meilleur chanteur féminin. Depuis son aspect à la télévision à l'âge d'offre de 16, elle a devenu des chanteurs les plus réussis et les plus respectés du monde arabe aussi bien qu'un ambassadeur de bonne volonté de l'ONU.biographieL'EL Roumi de Majida a été soutenu à l'EL renommé Roumi de Halim de musicienet épouse Marie Loutfi qui étaient des couples de catholique grec de Melkite de pneu, une ville au Liban du sud. L'EL Roumi de Halim est allé bien à un musicien renommé et a continué à habiter dans Kfarshima, qui était à la maison à beaucoup de chanteurs, musiciens, poèts et auteurs libanais, comme le défunt Philemon Wehbi. La résidence de l'EL Roumi de Halim dans Kfarshima était un endroit de réunion pour beaucoup de figures culturelles. La croissance vers le haut dans un environnement si artistique, l'intérêt de Majida pour la musique a commencé à montrer à un âge jeune où elle avait l'habitude d'écouter les travaux des figures en avant de ce temps, telles que Fairuz, Umm Kulthoum, Abdel Wahab, Wadi AlSafi, et Asmahan. Son chant et belle voix ont attiré l'attention de sa famille et voisins. Une des chansons tôt qu'elle avait l'habitude de chanter (et qui a été sauvé réellement sur le disque) était une chanson religieuse appelée « votre naissance » ou Miladak dans la référence à la naissance de Jésus le Christ.Raymond Safadi, le cousin de Majida, a été fasciné avec sa voix et pensé qu'elle pourrait être très réussie si elle poursuivait le chant comme profession. Cependant, le grand obstacle était son père qui a su autrement plus que n'importe qui comme il difficile était de travailler dans l'industrie de musique. Bien que le père ait refusé la participation de sa fille au ventilateur d'EL de studio de Télé Liban, Majida, avec l'aide de son cousin, Raymond, a écrit l'exposition de talent, chantant les chansons pour Asmahan et le Leila Mourad, comme Ya Toyour, Ana Albi Dalili, et EL Ouns fi Vienne de Layali. Le jury a été impressionné de son exécution et de sa belle voix et lui a attribué la médaille d'or.L'EL Roumi de Halim a donné à Majida ses bénédictions pour poursuivre le chant comme profession tant que elle a continué son éducation plus élevée. En dépit de la guerre au Liban en 1975, Majida a obtenu son BA en littérature arabe de l'université libanaise.Le 17 septembre 1977, Majida s'est fiancé à un homme d'affaires de Byblos, Liban. Antoine Dfouni est devenu non seulement son mari mais également son directeur. Ils ont été bénis avec deux filles : Hala et Nour. Majida et Antoine ont divorcé en 2006.Majida a perdu sa soeur, Maha, au cancer. Avant sa mort, elle a volé à sa soeur qui a été hospitalisée aux Etats-Unis et est restée avec elle pendant des jours. Quand elle a dû revenir pour un concert au Caire, Majida a consacré une chanson à Maha, souhaitant qu'un miracle ait lieu pour la guérir. Quand Maha est mort, Majida a exposé une poésie qu'elle a écrite à son enterrement dans une église dans Kfarshima. La mort de sa soeur la mènent à produire plusieurs albums religieux et ont tenu plusieurs concerts religieux. Elle libérerait plus tard une chanson spéciale consacrée à Maha.[éditer] carrièreMajida premier simple, « rêve d'I de toi, O Liban » (3am I7lamak Ya 7ilm Ya Libnan) était une chanson au sujet de son pays déchiré par la guerre. La chanson a été écrite par ledit Akelet composé par Elias Al Rahbani. En 1976, Majida a tenu le premier rôle en Al dal (le retour d'ibn d'Al d'Awdat de film de Youssef Chahine du fils prodigue) fournissant également 3 bandes sonores pour le film. Chahine l'a présentée comme « voix du 20ème siècle » et a reçu « la récompense égyptienne de critiques ». L'EL Roumi de Majida a libéré son premier album individu-intitulé de début en 1977 contenant 8 voies. L'album était un succès énorme et il a lancé Majida dans le stardom. Majida a continué à produire les albums très réussis que l'EL Roumi de Majida a exécutés à de divers festivals dans tout le monde arabe tel que des festivals de Beiteddine, de Jerash, de Bosra et de Carthage aussi bien que le théatre de l'$opéra du Caire. Majida était le premier chanteur de la « nouvelle génération » pour présent une poésie écrite par le poèt syrien renommé Nizar Qabbani. Majida était un ami personnel de défunt poèt syrien Nizar Qabbani. Majida a collaboré avec Nizar au début des années 90, elle a présenté ses poésies « Beyrouth, Madame d'univers » (Beyrouth reposent l'EL Dunia), de « mots » (Kalimat), « avec le journal » (Al Jarida de Ma) et « le jasmin Neckband » (Al Yasamin de Tawq). Qabbani a été très étonné avec le succès énorme du coup « Kalimat » de Majida, d'autant plus qu'il a eu certaines réservations sur cette poésie. Majida prend un stand ferme s'opposant au métier israélien des territoires palestiniens et des violations israéliennes de droits de l'homme. Pendant son concert à Beyrouth le 15 avril 2002, Majida a indiqué, « ce qui entre maintenant en Palestine est un crime contre l'humanité, et je suis ici pour dire une finale « non ! » au métier israélien. Aux Palestiniens, je dis, nos coeurs sont avec toi ; nos âmes sont avec toi ; la justice est avec toi, et la terre sera toujours à vous. Le « EL Roumi de Majida a également libéré la chanson, « Qana », Al d'Anakid Ghadab l'avril 1996, comme forme de protestation contre le massacre qui les Israéliens commis dans la ville de Qana au Liban méridional. La « lumière exécutée par Majida la manière, » un duet avec l'opéra international tiennent le premier rôle, José Carreras, le 9 décembre 2006 pendant la cérémonie d'ouverture des 15èmes jeux asiatiques Doha 2006. [1] En plus de trois décennies, l'EL Roumi de Majida est allé bien à un symbole et à un idole pour les assistances globales.

Le chanteur Moumouh


Apres un franc succès réalisé implacablement et d'une manière très séduisante par son album " Melkhana " qui a véritablement fait un tabac, l'été écoulé, le jeune chanteur Moumouh compte apparemment rééditer mais, avec, bien évidemment, une nette amélioration, le même exploit.
Ce jeunot épatant vient ainsi de mettre un nouvel album sur le marché pour justement se mettre, d'ores et déjà, au diapason des artistes ayant fait de la chanson rythmée une passion. Comme déjà annoncé précédemment, cet artiste qui monte a bel et bien tenu sa promesse, celle de donner à son public un produit très raffiné en mesure même de rivaliser les chanteurs de même style mieux lotis sur tous les plans.
Il s'agit d'une expérience très remarquable qu'a mis à profit cet Ifliss pour aller toujours de l'avant dans son chemin qui l'amènera, à coup sûr, vers un avenir prometteur. Ses prestations ça et là en Kabylie notamment ont confirmé amplement que ses musiques envoûtantes parviennent à épater plus d'un, étant donné que ses mélodies sont d'une teneur musicales très convoitée essentiellement par la nouvelle génération.
De ce fait, dans son nouvel opus, Moumouh n'a point dérogé à la règle, puisqu'il est toujours fidèle à sa ligne en vue, sans aucun doute, d'agrémenter son public d'un produit fascinant. Il est vrai que le nouvel album de Moumouh, sorti il y a de cela une semaine aux éditions Irath musique, a suscité un engouement en Kabylie, et ce, en attendant les fêtes de la trêve estivale où les chansons de cet artiste résonneront certainement, comme l'année dernière d'ailleurs, à l'occasion des soirées DJ, devenues ces dernières années un mode privilégié pour l'animation des cérémonies de mariage et des circoncisions en Kabylie. En effet, dans cet album intitulé "thamechtouhth di laamar", ce jeune artiste traite particulièrement des sujets ayant trait à l'amour, volet très prisé par la classe juvénile. En outre, ce nouveau produit est composé de huit chansons raffinées avec une distribution musicale très attrayante.
En effet, Moumouh chante "A cheikh", "Senyagh fellam", "Ayghar ayghar", "thakhemrith" et "zigh theskidived" ainsi que "thamechtouhth". D’éminents techniciens en la matière, à l'image de Toufik pour la prise de son et les arrangements.
Ont contribué à l'enregistrement de ce travail D'ailleurs, Moumouh se voit très reconnaissant du travail effectué par Toufik, cet homme génial qui a fait parler de lui grâce à sa finesse et son attachement viscéral à la chose artistique. "Vraiment, je remercie infiniment Toufik Ameur qui m'a fait un travail d'expert", dira Moumouh qui ajoutera que, pour la promotion de sa cassette, il ne compte pas rester les bras croisés. Au contraire, un travail de longue haleine l'attend. C'est pour cela qu'il envisage d'animer une série de galas. Pour rappel, l'année écoulée, l'artiste a sillonné pratiquement toute la Kabylie où il a donné des spectacles comme, entre autres ceux animés dans les cités universitaires de Bejaia.
Aujourd'hui donc, et ce compte tenu de sa notoriété au niveau local surtout, l'auteur de la célèbre chanson "melkhana" sera à coup sûr, au rendez-vous pour mettre du baume dans les cœurs de ses fans qui l'attendent avec beaucoup d'impatience. Enfin, comme, d'ailleurs, à chaque passage dans une émission radiophonique, Moumouh a, dernièrement sur les ondes de la chaîne "El bahdja" salué son public qu’il remercie de tout cœur.

Cheba Maria


En 1998, cheba maria rejoint la France et s’installe à Toulouse en quête de nouvelles rencontres et d’expériences musicales.
Rapidement elle arrive à convaincre un public plus large et se fait une place dans le milieu artistique grâce à sa voix exceptionnelle et son irrésistible joie de vivre.Elle se produit aux cotés de plusieurs artistes :
En 1998 son duo avec Cheb Rachid « Enta ould bladi » (toi de mon Pays) se vendra à plusieurs milliers d’exemplaires dans differents pays et notamment au Maroc ou elle garde un public fidèl.
En 1999, « Amalek a Zine » ( qu’est ce que tu as ).
En 2000 « Zinek Khater » (Ta beauté est irrésistible) En 2001 « Rani Mghamra » (je part a l’aventure).
En2003 « jenetinie » (tu m’as rendu folle) ,et son incroyable participation dans l’album Rain’b Fever le titre Mon Bled en duo avec Mohamed lamine et Rohff vendu a plus de 250.000 exemplaires lui donnera l’occasion de recevoir des mains de la maison de disque Sony Music son premier Disque d’or.
Elle a pu créer un style à part le style CHEBA MARIA influencée par le rai,la musique populaire marocaine et moyen-orientale plus généralement.

Cheb Rhany Kabbadj


Rhany Kabbadj(ou Ghani Kabaj) est Né, en 1972, à Marrakech de père marocain et de mère franco-algérienne.Très jeune, il quitte le Maroc pour s’installer en Tunisie où il ne tarde pas a confirmer son talent d’artiste. Au Maroc Rhany est déjà une star, et ses fréquentes apparitions à la télévision tunisienne et marocaine, son concert à la coupole d’El Menzeh lui ont permis de côtoyer les plus grandes personnalités de la chanson arabe : Warda, Mami, Khaled (un duo qui lui valut du succès.)...
Début 97 Rhany s’envole pour Paris et enregistre son album qu’il terminera à Los Angeles. Entouré de musiciens talentueux, le disque verra le jour en 98. Après la sortie d’un best of en 99 au Maroc, de nombreux concerts ont lieu sur les plus grandes scènes parisiennes dont Bercy. L’année 2000 arrive et sera consacrée a la création de son nouvel album.
Passionné par la musique latine, Rhany est parvenu après des années de travail et de recherche a unir culture ensoleillée et rythmes endiablés. L'enregistrement aura lieu à Cuba au studio Egrem répute pour ses productions et artistes légendaires (Compay Segundo, Ibrahim Ferrer, Buenaventura...). Son tempérament joyeux et chaleureux est à l'image de sa musique, un mélange de salsa et de rythmes orientaux.

Abidat Rma


C'est un art musical populaire de la région sous forme d'un groupe composé de sept personne et plus ,avec un chef de groupe nommé Mkadem c'est le leader vétu d'une Adjellaba qui le distingue des autres.le Mkadem a comme instrument un ciseau ou mkass (Mkass un ancien ciseau était pour but couper la laine des mouttons) ,ou tara (instrument musical rond ) .
Comme son nom l’indique, Abidat R’ma, cet art est inspiré du rituel de la chasse. Ce rituel, qui coïncide avec le début de la saison de la chasse, est fêté par des chants autant que par la danse. Au moment où le gibier est aux abois, des cris (hourras) s’élèvent pour pousser la proie, apeurée, à cesser toute résistance. Dans ce concert de cris, les chasseurs se livrent à une gestuelle comme pour pousser le gibier dans ses derniers retranchements.
Inspiré de la chasse, l’art des Abidat R’ma célèbre également la saison des moissons. S’il est né de la période de chasse, il est utilisé souvent au moment des récoltes. A cette période, les Abidat R’ma expriment la joie des paysans de récolter le fruit de leur travail, surtout quand les récoltes sont bonnes.
Aujourd’hui, cet art est toujours fort prisé par les Marocains. Les Abidat R’ma sont fort sollicités pour les fêtes familiales (mariages , circoncision, etc). Ils le sont pour les soirées télévisées. Le secret de cette forte demande trouve son explication non seulement dans les chants ou musiques des Abidat R’ma , mais aussi dans la théâtralisation de leur art. Au plaisir de l’écoute, se conjugue ainsi le plaisir de l’œil. Au gré des mélomanes et des amateurs des spectacles vivants.

LemChaheb


LemChaheb (aussi appelé Lamchaheb) est une formation musicale marocaine très populaire créée en 1975 à Casablanca, connue pour son goût prononcé pour les musiques occidentales, et le sens de la provocation .LemChaheb a pour particularité d'introduire des instruments électriques modernes et de composer des textes dénonçant les excès du régime politique marocain. De fait, ils ont à maintes fois été comparé au Sex Pistols.Riche d'influences musicales diamétralement opposées comme le raï, la musique berbère, la musique gnawi et mis au diapason du rock et de la musique pop, LemChaheb est reconnu pour avoir participé au renouveau de la musique marocaine des années 1970 jusqu'aux années 1980, date à laquelle le groupe disparaît de la scène.